Une frappe aérienne élimine 5 commandants du Hezbollah et des milices à Deir Ez Zor

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Une frappe aérienne non identifiée élimine 5 commandants des milices pro-iraniennes  en Syrie 

L’Observatoire syrien des droits de l’homme, un site basé au Royaume-Uni, a signalé ce jour-là trois explosions et la présence d’avions non identifiés dans la ville de Deir-ez-Zor, dans l’est du pays.

L’attaque aérienne aurait eu lieu au cours d’une réunion provoquée par le Secrétaire Général du Hezbollah Kataïeb en Irak, avec de hauts responsables iraniens, dans la zone d’Al-Mayadeen, en province de Deir Ez Zor.

Des gens du côté syrien du passage de Quneitra, sur le plateau du Golan, à la frontière entre Israël et la Syrie, photographiés du côté israélien, le 15 octobre 2018. (Crédit photo : AMIR COHEN/REUTERS)

Des frappes ciblées sur des responsables importants

Selon certaines informations, au total, on aurait constaté la mort de 5 commandants de milices soutenues par l’Iran en Syrie mardi dans une frappe aérienne, selon la chaîne de télévision saoudienne al-Hadath, citée par les médias israéliens cette nuit-là.

Un autre rapport affirme que l’un individus tués était un commandant en chef du Hezbollah Kataïeb.

L’Observatoire syrien des droits de l’homme, un observateur basé au Royaume-Uni, a signalé ce jour-là trois explosions et la présence d’avions non identifiés dans la ville de Deir-ez-Zor, dans l’est du pays.

Les troupes de réserve du Hezbollah en Syrie

La Syrie abrite plusieurs milices financées par l’Iran, qui ont attaqué non seulement les forces israéliennes, mais également les troupes américaines depuis que la guerre a éclaté entre Israël et le Hamas en octobre.

Il s’agit notamment du Hezbollah, qui contrôle une grande partie du sud du Liban et qui tire des roquettes et des missiles sur le nord d’Israël depuis le 7 octobre, entraînant des échanges de tirs réguliers et l’évacuation d’environ 100 000 personnes de leurs maisons près de la frontière israélo-libanaise.

L’Iran a réduit la présence du CGRI en Syrie en raison de frappes

Il y a quelques semaines, on a rapporté qu’une frappe israélienne présumée avait tué le colonel Reza Zarei, un officier du Corps des Gardiens de la révolution iraniens (CGRI), ainsi que deux combattants du Hezbollah. Une frappe dans la région de Damas en janvier aurait tué trois officiers du CGRI.

En février, l’Iran a réduit son déploiement d’officiers du CGRI en Syrie à la lumière des frappes israéliennes.

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