Les réseaux du monde arabe persistent et signent la version du Hamas : “Israël a bombardé l’hôpital de Gaza !” –

 “Ils exigent l’expulsion de l’ambassadrice israélienne d’Egypte”

Amira Oron

Tous les moyens sont bons, sur les réseaux du monde arabe, pour contraindre les pays signataires d’accords de paix avec Israël, à revenir des années en arrière et à s’aligner sur la révolution islamique d’Iran. Celle-ci, en solidarité avec les Frères Musulmans, avait incité le Jihad Islamique d’Egypte ( autour d’Al Zawahiri, 2^nd leader d’Al Qaïda, plus tard) à assassiner Anouar El Sadate, coupable de paix avec le “Petit Satan”.

Une fois ancrée la contre-vérité, il devient impossible de l’extirper des réseaux sociaux

Malgré les rapports contradictoires suite au tir de roquette du Jihad Islamique sur l’hôpital de Gaza, de nombreux militants du monde entier appellent à « l’expulsion d’Amira Oron, l’ambassadrice d’Israël en Égypte » en continuant d’affirmer qu’Israël serait responsable de la mort de 500 citoyens palestiniens. L’Etat hébreu a démontré le caractère mensonger de la version propagandiste du Hamas, images et enregistrements à l’appui

Les fabricants de rumeurs en quête de bouc émissaire

Opération Glaives d’acier – le 12ème jour : La pression publique sur Israël augmente grâce au récit mensonger du Hamas, au sujet du bombardement de l’hôpital Al-Ahli la nuit de mardi, où des centaines de personnes auraient été tuées. Pendant ce temps, malgré les rapports mensongers dans le monde, l’armée israélienne a présenté de nombreuses preuves qu’il s’agissait de la chute d’un missile défaillant du Jihad islamique, mais les réseaux arabes n’ont pas manqué de renchérir dans les accusations à sens unique : « Israël est responsable du bombardement de l’hôpital et de la mort de 500 civils palestiniens. ».

Elon Musk, addict au jeu de dupes ?

Aujourd’hui (mercredi 18 octobre), le hashtag “#expulser l’ambassadrice d’Israël en Egypte Amira Oron” a commencé à circuler sur le réseau social X (anciennement Twitter).

Ces militants ont considéré le « bombardement » fictif comme une « grave violation des lois du droit international humanitaire » et ont appelé Israël à mettre immédiatement un terme à sa politique de supposée « punition collective » contre les habitants de Gaza.

La fuite en avant des incendiaires

Israël et les États-Unis tentent, au contraire, de mettre en place des solutions visant à séparer la population de Gaza, incitée à se réfugier au sud, et le régime du Hamas, qui sera oblitéré de la surface et des sous-sols de la terre.