On se souvient d’elle comme distributrice d’étoiles jaunes compromettantes aux musulmans victimisés. Elle a aussi osé écrire « Être Juif après Gaza » (CNRS, coll. « Débats »!!!)-en référence à « Comment vivre après Auschwitz » d’Elie Wiesel-, en pleine comparaison frauduleuse, en 2008.
La révisionniste Esther Benbassa, vice-Présidente des écolos, semble être une harceleuse sans bornes. A plusieurs reprises, il s’agit de mise en danger médical d’autrui (opération reportée et violation du confinement au Sénat). Elle aura, décidément, largement abusé de ses positions pour nuire à son entourage et au peuple dont elle est issue…
Accusée de harcèlement, la sénatrice se « met en retrait »
Esther Benbassa, vice-présidente du groupe écologiste au Sénat, est visée par des accusations de harcèlement par d’anciens collaborateurs.
Source AFP
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« En accord avec le groupe, je me mets en retrait jusqu’en septembre », a annoncé Esther Benbassa à l’Agence France-Presse à l’issue d’une réunion du groupe, convoquée à la suite d’un article de Mediapart. La sénatrice, vice-présidente du groupe EELV au Sénat, est accusée de harcèlement par d’anciens collaborateurs cités dans une enquête du média en ligne.
« Esther Benbassa se met en retrait du groupe le temps d’étudier les suites à donner conformément à notre règlement intérieur », a pour sa part indiqué le groupe Écologiste, Solidarité et Territoires dans un communiqué. « Nous prenons toute la mesure des accusations portées », ajoute le groupe. « Les témoignages d’anciens collaborateurs et collaboratrices de la sénatrice sont extrêmement graves et traduisent une grande souffrance au travail. Nous leur apportons tout notre soutien. »
Climat de « terreur »
Dans son enquête, Mediapart rapporte les témoignages de huit anciens collaborateurs et six anciens étudiants que l’élue employait à l’École pratique des hautes études. Tous évoquent un climat de « terreur » instauré par la sénatrice, fait de pressions, de chantage à l’emploi et d’humiliations systématiques, souvent à l’occasion de mails, individuels ou collectifs, et de SMS consultés et retranscrits en partie par Mediapart.

Une ancienne collaboratrice l’accuse en particulier d’avoir tenté de lui faire reporter une opération médicale importante aux poumons sous prétexte d’un agenda politique chargé au moment de la réforme des retraites, en 2020. Un autre lui reproche d’avoir fait pression pour qu’il vienne travailler au cabinet en plein confinement et alors que les règles du Sénat précisaient que la présence sur place ne devait être qu’exceptionnelle.
Avec lepoint.fr
Les sous-merdes, ça ose tout.
Cette collaboration de cette nazie avec les pastèques vert est signé qu’elle a les neurones qui se touchent . Elle devrait faire un procès à son chirurgien plasticien qui l’a transformé en barby style macaque .
Bien fait pour elle. Elle n’arrête pas de donner des leçons de morale à tout le monde depuis des années alors que visiblement c’est un véritable tyran avec ses équipes. Elle est la juive de service, l’alibi de EELV pour dire que ce parti n’est pas antisémite. Ils la mettent en première ligne systématiquement de toutes les manifestations contre Israël avec son écharpe de sénatrice. De toute façon, elle ne risque rien. EELV a besoin d’elle, c’est son alibi. Les plaintes vont être retirées une fois qu’un arrangement financier aura été trouvé avec les plaignants.