. Un bilan intermédiaire
Fin de la guerre de GAza , Hamas , Tsahal , Lt. Gen Aviv Kochavi
Certaines lacunes subsistaient dans le résumé, vendredi 21 mai, de l’opération de 11 jours de Tsahal à Gaza, fait par le Premier ministre Binyamin Netanyahu, le ministre de la Défense Benny Gatz et le chef d’état-major du lieutenant-général Aviv Kochavi, selon les analystes de DEBKAfile, alors qu’un cessez-le-feu est entré en vigueur. .
Le Premier ministre a déclaré que le Hamas était confronté à une nouvelle équation: Israël ne tolérera plus les roquettes tirées au compte-gouttes, mais ripostera fortement au moindre signe d’agression. Mais selon les données militaires, le Hamas et le Jihad islamique se retrouvent toujours avec un stock de 10.000 roquettes encore prêtes à l’emploi.
Netanyahu a affirmé que «le calme a été rétabli et la dissuasion [d’Israël] renforcée». Personne ne peut dire à quel point cette affirmation est vraie. Le Hamas n’est pas le Hezbollah libanais qui, après une défaite retentissante en 2006, a conservé la tête baissée pendant 15 ans. Les terroristes palestiniens, en revanche, ne changeront pas d’un iota, même si les centres de population denses de Gaza sont rasés, pas plus qu’ils ne l’ont fait face à la dévastation provoquée par les opérations antiterroristes de Tsahal de 2008 et 2014.
Ces dates suggèrent que le Hamas envisage de mener une nouvelle guerre contre Israël tous les six ans (environ). Gantz et Kochavi ont été plus réalistes lorsqu’ils ont déclaré que l’opération était «suspendue mais (le travail) pas terminé(e)» et que d’autres répliques étaient encore dans les cartons.
Rien de tout cela ne nuit aux performances remarquables de Tsahal. Sous la férule du Lieutenant-général Kochavi, le haut commandement et l’armée de l’air ont fonctionné avec une efficacité quasi mécanique et l’armée de l’air et le renseignement militaire (AMAN) ont fait preuve d’aptitudes à la haute précision et à la puissance, comme jamais on ne l’avait vu auparavant dans aucun conflit au Moyen-Orient. La doctrine Kochavi des coups rapides pour soumettre rapidement l’ennemi était pleinement justifiée.
Mais le Hamas est néanmoins sorti de la confrontation de 11 jours avec des bénéfices qui ne devraient pas être ignorés:
- Pas un pouce du territoire de Gaza n’est tombé entre les mains d’Israël (NDLR : que vaut cette remarque sans opération terrestre?).
- Israël s’est abstenu d’engager des troupes au sol dans l’opération, un fait noté par d’autres ennemis, l’Iran, le Hezbollah et les milices chiites irakiennes opérant chez eux et en Syrie.
- Malgré la perte de hauts commandants, le Hamas et le Jihad ont conservé leur cohésion militaire et leur capacité opérationnelle jusqu’à la fin du conflit quoique de moindre intensité.
- Le Hamas a continué à tirer des roquettes, résistant aux bombardements écrasants de l’une des forces aériennes les plus puissantes du monde, bien qu’il ne dispose pas des systèmes de défense aérienne utilisés contre les frappes aériennes au-dessus de la Syrie et du Liban. Ce manque pourrait bien être corrigé lors du prochain round de guerre.
Malgré les performances de repérage exceptionnelles d’AMAN, 4 360 roquettes palestiniennes ont été lancées contre les communautés israéliennes, dont 3 880 ont franchi la frontière, bien que la grande majorité ait été explosée en l’air par interception des défenses aériennes israéliennes. - Le Hamas a été en mesure de mobiliser un soutien actif non seulement parmi ses compatriotes palestiniens en Judée et en Samarie, mais aussi puissamment parmi les Arabes israéliens. Dans le même temps, les gouvernements arabes, dans l’ensemble, étaient opposés au Hamas dans ce conflit.
Il semble que vous exagérer un peu, c’est indéniable que les palestiniens et le hamas sont à genoux, c’est eux qui ont demander à l’Egypte d’avoir un cessez le feux, ensuite la pression internationale a aussi jouer dans l’acceptation !
Pardon? Vous croyez que les commandants de Tsahal sont des plaisantins? S’ils pensent qu’il reste à faire, c’est sans doute qu’il y a du vrai…
pas du tout on est retombe nous 10 ans en arriere rien n est joue tout reste a faire quand on debusque un gibier il faut le tirer hors ils se promenent encore dans les rues il faut reprendre les eliminations ciblees patiemment ou quils soient on sait faire
Les pressions sur Israël surtout.
Le réarmement du Hamas peut se faire plus rapidement avec des livraisons clés en main ,avec du matériel plus sophistiqué ,l’ argent ne manque pas.! Et les amis aussi !
bien sur un cessez le feu rapide ils ne veulent pas bruler tout le magazin ils vont toucher l assurance incendie faire rentrer l argent relancer le bisness un vrai ness ces ong deja ils ont recu plein d assurances de soutiens redonner un tour de manivele et c est reparti pour un nouveau tour de manege