Antisémites : des pulsions sans limite !
Par Jean-Marc Alcalay
Qui sont-ils ?
Ils ne se démontent pas devant d’indéniables faits, même face à des scènes de cruauté commises par le Hamas et qu’ils persistent à soutenir, ils ne changent pas leurs opinions, leurs convictions, ils persistent dans leur déni de la réalité, ils refusent de qualifier de crime contre l’humanité les assassinats du 7 octobre, les prises d’otages commises par le Hamas et leur préfèrent le terme de crimes de guerre, d’actes de résistance, mais pas de crimes terroristes et refusent même qu’on appelle pogroms ces mêmes massacres du Hamas. Ils en arrivent, perversité oblige, à accuser Israël de génocide, faisant oublier que les génocidaires, ce sont les terroristes du Hamas et leurs complices. Ils opposent arguments contre arguments, sans baisser les yeux, sans sourciller, sans rougir de leurs mensonges, sans douter une seule fois d’eux-mêmes, bien accrochés à leur rhétorique quasi négationniste, arque-boutés à leur idéologie totalitaire bien huilée, antisémite-antisioniste-pro-palestinienne-pro-islamiste et pro-Hamas qui mortifie toute possibilité d’envisager la moindre ouverture à l’autre, sans la moindre possibilité de concevoir qu’une vie juive puisse exister. En fait leurs pulsions haineuses sont sans limite.
This was the celebration on October 7 in Gaza after Palestinian terrorists brought back Israeli women’s bodies. pic.twitter.com/amT8YFKoMY
— Marina Medvin 🇺🇸 (@MarinaMedvin) November 19, 2023
Ce sont eux !
Ces gens-là, ces hordes-là s’appellent le NPA, LFI, les gauchistes, les islamistes, les wokistes, des musulmans et il y en a parmi eux, des socialistes et il y en a parmi eux, des ultra-droitistes et il y en a parmi eux, enfin tous ceux qui détestent la démocratie, les mondes libres et j’en oublie certainement…, avec en France, Jean-Luc Mélenchon comme grand ordonnateur de cette haine morbide !
Alors, face à ce qui s’apparente à une conviction que l’on rencontre chez les paranoïaques et les délirants ainsi qu’à un déni pervers de la réalité, je me demande comment pourrait-on limiter, contraindre leur Moi haineux des Juifs, les « castrer » en somme, au sens où la psychanalyse l’entend, c’est-à-dire, non pas une castration réelle, corporelle, non pas une mutilation physique, mais un empêchement symbolique, donnant ainsi des limites à leur Moi mortifère. Comment donc les faire bouger, changer, douter et peut-être les faire déprimer face à ce qui pulse leur haine, face à leurs passions projetées sur la mort des Juifs et des démocrates. Comment les faire sortir de leur impasse, celle qui les empêche de partager un langage commun qui puisse prendre en compte l’autre, le Juif, le démocrate et leurs pulsions de vie ? Une réponse me vient : la Loi rien que la Loi, mais intransigeante et intraitable !
Une limitation souhaitable du Moi !
Comment faire enfin pour que ces psychopathes avides de meurtres et de viols puissent se demander si la haine qu’ils ont des Juifs, d’Israël, de la France et des démocraties, ne vient pas au fond d’eux-mêmes ? Je les nomme encore : le NPA, LFI, les gauchistes, les islamistes et tous les autres, cités plus haut, enfermés dans leur impasse narcissique de mort, dans leurs certitudes, dans leurs convictions, en somme, dans leur jouissance dont ils risquent de s’étouffer, ce que je leur souhaite, jusqu’à leur mort idéologique. Ce serait là une bien belle fin pour eux.
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