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Un blogueur iranien détaille les possibilités qu’affronte Israël pour attaquer les installations nucléaires iraniennes. Il en- omet sûrement quelques-unes
Shahin RA – Un blogueur militaire iranien, qui est en contact avec des Israéliens, écrit sur les possibilités qu’affronte Israël, en vue d’attaquer les installations nucléaires en Iran:
Les options d’Israël pour attaquer l’Iran
Israël a (théoriquement au moins) trois options pour atteindre les frontières occidentales de l’Iran:
* – La première option consiste à utiliser l’espace aérien turc et à faire le plein une fois dans le ciel du pays.
La probabilité d’une coopération turque sur cette question est très faible. Les systèmes radar de la Turquie sont très bons et il est peu probable qu’Israël utilise secrètement son espace aérien.
(Les plans d’attaque vus dans l’équipement ci-dessus ont été publiés par la BBC dès 2012)
* – La deuxième option pourrait être d’utiliser le ciel des frontières de la Syrie et de l’Irak et d’atteindre les frontières occidentales de l’Iran à partir de ces zones.
Compte tenu de la guerre qui déchire la Syrie et l’Irak et de la faiblesse des systèmes radar pour détecter le F35,furtif cette piste est la meilleure option pour effectuer des opérations aériennes secrètes sans la coopération d’aucun État.
Pour accomplir cette tâche, l’avion F35 peut décoller de sa base dans le sud du pays, depuis Israël sans interruption jusqu’à un point spécifique de frappes.
Comme vous pouvez le voir sur la photo, si les avions furtifs israéliens veulent emprunter cette route, ils se trouvent à 1000 kilomètres de la frontière iranienne.
S’ils veulent suivre la piste de Téhéran et des installations militaires environnantes, ils seront à environ 410 km du cœur de Téhéran.
Mais les F35 n’ont pas à avancer aussi loin pour prendre pour cible des destinations autour de Téhéran et ils peuvent tirer des missiles de croisière à une distance de 370 km de leurs cibles. Par conséquent, le F35 doit avancer dans le ciel iranien d’environ 100 kilomètres.
Bien sûr, jusqu’à présent, il n’y a aucune source qui confirmerait qu’Israël aurait obtenu ou allait obtenir les missiles des États-Unis ayant une portée de 970 km.
Si et dans la mesure où Israël aurait reçu ces missiles de l’administration Trump, il n’aura pas du tout à pénétrer dans l’espace aérien irakien et il pourrait lancer de tels missiles depuis la frontière commune entre la Syrie et l’Irak.
* – La troisième option pour une frappe aérienne israélienne en Iran est l’utilisation de l’espace aérien saoudien.
Avec la normalisation entre Israël et de nombreux pays arabes, ainsi qu’à cause de l’hostilité indescriptible de l’Arabie saoudite envers l’Iran, des avions de combat F35 peuvent entrer dans l’espace aérien saoudien (en coordination avec des responsables militaires saoudiens) pour se connecter au-dessus du Koweït pour se ravitailler en carburant.
Ici, on entre d’Irak et on entre en Iran par Bassorah et Buhsher.
Si le F35 entre en Iran depuis cette région, il se trouve à seulement 430 km de Natanz et ne doit entrer qu’à environ 70 km de profondeur en Iran.
À ce stade, les avions de combat israéliens lanceront les missiles de croisière à une portée de 370 km.
Cette route est pleine de montagnes et de ravins et les avions furtifs pourront facilement atteindre les champs de tir souhaités grâce à des missiles de croisière.
Comme indiqué précédemment, si un F35 furtif veut attaquer à travers la Syrie et l’Irak et le fait secrètement sans avoir besoin de ravitaillement en vol, il doit transporter deux réservoirs de carburant supplémentaires de 2300 litres qui l’amènent à une portée opérationnelle de 1700 km.
Comme vous pouvez le voir sur la photo, pour pénétrer dans cette zone, l’avion furtif bénéficie d’un rayon de fonctionnement de 1100 km pour tirer des missiles de croisière vers la cible, cette action sera donc certainement possible.
Il est important de noter que le rayon de fonctionnement prévu pour le vol est élevé, et si le furtif parcourt toute la pvoie aérienne à basse altitude, le rayon de fonctionnement sera réduit en raison d’une plus grande consommation de carburant, mais il peut toujours être exploité. Bien sûr, si cette action est coordonnée par les États-Unis, le pilote de l’avion furtif pourrait facilement faire le plein dans le ciel irakien à partir des réservoirs de carburant américains, sans en informer le gouvernement irakien. Dans ce cas, les engins furtifs ne manqueront pas de carburant pour effectuer cette opération.
La troisième option est la plus idéale pour Israël dans ses « nouvelles » relations avec l’Arabie saoudite, car les F-35 Adir sont capables de parcourir plus de 1 200 km dans un ciel relativement sûr, d’entrer dans le ciel iranien et de retourner en Israël par l’Arabie saoudite.
(Crédit: Yossi Eliezer – 301 Le monde arabe)
Le commentateur militaire du site explique qu ‘ »il existe d’autres options plus exotiques qui, pour une raison quelconque, n’ont pas été proposées. Tout ce qui est mentionné est évident. Toutes les spéculations d’hier et d’aujourd’hui ne sont pas vraiment liées à la réalité que nous connaissons et ces descriptions d’attaques ressemblent encore à celles de la Seconde Guerre mondiale, fondées sur le fait qui date, que l’avion devrait survoler la cible pour être certain de l’atteindre.
